The text is now available at: http://consumerights.ca/wp/2015/05/purthanol-the-saga-continues/
Please visit our website at FSCA
The text is now available at: http://consumerights.ca/wp/2015/05/purthanol-the-saga-continues/
Please visit our website at FSCA
Purthanol : The saga continues
You can see in the papernews “L’oie Blanche” dated 25 March 2015 in page 45 that :
“Préavis de vente pour défaut de paiement de l’impôt foncier” Purthanol Canada limitée dans la municipalité de Sainte-Perpétue, un immeuble…
Purthanol appears in the files of the authorities of financial markets in page 93/103 as follows:
Purthanol Resources LTD negligences : 1a, 1b, 1c, 1d, 1e
As regards the bankruptcy of Biocardel Luxembourg, it’s an operation between Purthanol and René Delarue to hide the transfers of money (various loans of the Luxembourg and myself) between Biocardel Luxembourg to Biocardel Québec via the company GSCTT Caru.
It’s an act punished by the law, they purely and simply diverted from public and private money. Today, René Delarue works for Purthanol. Incredible !
I have first hand knowledge of the scam operated by Purthanol, where they find investors to buy a production license and at the end there is nothing being produced. they are using fake/stolen documents, fake sales orders to justify the price of the licence. they have never produced an ounce of ethanol or biodiesel. they owe thousandssss of $ to various companies. in addition they have done questionable if not illegal transactions with company shares on OTC
Now they have re branded themselves under a new company called Lux Biologics Limited
Corporation Number
9485716
Business Number (BN)
798651725RC0001
with Leonard Stella as its director, the same Leonard Stella who has been and still is under investivation by financial authorities (bit.ly/1R9tloW). the rest of the executives at purthanol isn’t that much better, with a former police officer under investigation and others being with questionable pasts…
my advice is to stay away from these individuals
René Delarue condamné par la Cour du Québec pour facture impayée (jugement rendu le 18 mars 2014). Canada.
Enfin une première condamnation pour René Delarue, dans ce jugement rendu à Montréal, la confirmation du manque d’expertise technique de ce dernier, de l’absence du savoir faire est similaire à l’usine qu’il s’est lui même vendu au Luxembourg puisqu’il était administrateur et actionnaire majoritaire.
Après une production très limitée, les techniques mises en oeuvre par Monsieur Delarue sont d’une légèreté technique sans équivoque : “Lors de ce transfert, l’huile est filtrée afin de pouvoir servir ensuite à la fabrication du bio-diesel. Le système comporte quatre filtres. Rapidement, il y a blocage. Malgré le nettoyage et le remplacement des filtres, le transfert selon cette technique ne fonctionne pas. Monsieur Villeneuve constate que l’huile, au niveau de la pompe, est ¨très visqueuse¨ et ¨pleine de pâte¨; elle ressemble à de la mélasse.”
Il s’est passé la même chose au Luxembourg, après la tentative de mise en route de l’usine au Luxembourg par un collaborateur puisqu’il ne s’est jamais déplacé lui même alors qu’il devait suivre le montage, former le personnel, faire les tests et mettre en service l’usine, tout a été bouché, pompe cassée, filtres sous dimensionnés hors service. Les tuyauteries n’étaient même pas chauffées…
Il vend en fait des concepts “clé en main” d’usine de Biocarburant d’une production annuelle de 20 millions de litres par an. Vu le système archaïque qui est livré par Monsieur Delarue, cela ne peut pas fonctionner en production constante industrielle ni même tout court. Il s’agit d’une tromperie industrielle.
Pour financer ces opérations, Monsieur Delarue a besoin des Etats, des Banques et des investissements privés. Dans le cadre du Luxembourg, il avait estimé son clé en main à 1.700.000.-€. Il recevra presque la totalité de la somme pour avoir fourni 10 petites pompes, livré une dizaines de petits réservoirs d’occasion et 2 petites stations de filtrages d’occasion aussi.
Il ne respectera en rien le clé en main, il ne se déplacera jamais au Luxembourg et n’enverra jamais personne pour suivre les travaux et mettre en service l’usine.
Pire encore, il dira qu’il n’a pas de relation contractuelle entre la GSCTT Caru et Biocardel Luxembourg. Comment explique t-il tous les transferts d’argent alors ?
Il ne payera pas non plus la société Luxembourgeoise qui a fait le montage mécanique au Luxembourg. Il avouera par téléphone à la société qu’il n’a plus cet argent. Il est vrai que pendant que cette société réclame la somme due, il transfère au même moment plus de 500.000.- dollars de sa société de montage d’usine GSCTT CARU Inc. vers Biocardel Quebec qu’il revend quelques mois plus tard à Purthanol pour 5.000.000.- dollars.
Une procédure pour facture impayée (là encore) est actuellement en cours au Canada.
Il doit près de 140.000.-€ à cette société.
Une deuxième procédure est en cours pour tromperie, dol et mensonges au Luxembourg.
Après Biocardel USA en Virginie (il avait obtenu un prêt de plus de 675.000.- dollars qu’il n’a jamais remboursé et jamais rien produit), après Biocardel Europe et Luxembourg, il a obtenu plus 1.500.000.-€ pour quelques équipements livrés d’occasion et n’a rien suivi du montage de l’usine, maintenant Biocardel Quebec racheté par Purthanol, la saga continue …..
Cela fait beaucoup pour un seul homme. Bravo à la Justice du Québec.
http://caselaw.canada.globe24h.com/0/0/quebec/cour-du-quebec/2014/03/2014qccq1949.shtml
Olivier, j’ai lu le jugement en question et il est important de s’en tenir aux faits et de rester objectif. Le tribunal n’a pas donné raison à Agrocentre que c’était Biocardel qui était responsable de l’huile visqueuse. Donc le tribunal n’a jamais dit que le processus de transformation de l’huile de soya en biocarburant par Biocardel ne fonctionnait pas. En fait le tribunal trouve que plus de 15,000 litres d’huile de soya ont pu être transformés et c’est pourquoi le tribunal força Biocardel à payer la facture. Agrocentre et Biocardel ont failli dans leurs preuves pour prouver qui était responsable de l’huile visqueuse qui resta dans le réservoir. Le tribunal ne fit aucune décision sur ce point.
Je sais que tu as un problème avec Biocardel et je comprends pourquoi. Mais il faut rester objectif. Je suis d’accord avec les autres informations. Le gouvernement du Canada cache toujours le montant de son investissement payé à Biocardel. Considérant que ce montant provident de mes taxes, je veux savoir et il faudra faire une demande à l’informations officiellement…